He studied graphic design at the Royal Academy of Art in The Hague. His predilection for bright rhythmic structures comes unmistakably forward; the plane, rhythmically distributed, with a fascinating play of light and shadow, articulated in regular forms of stacked figures. Van Rutten likes subtle contrasts between regularity and distortions, between tight and frayed, tough and fragile, between smooth and rough, cut and torn. His work is of great simplicity. The art historian is inclined to look for schools in which the objects could fit and will refer to colleagues such as Jan Schoonhoven and Ad Dekkers, movements such as Nul or Zero. Movements that are characterized by a formal and distant impersonality, something you can not say about the work of Van Rutten. His interest in disruption and distortion, the ripple in the frequency, makes his work rather very personal and gives it a poetic dimension.
Hij volgde de opleiding grafische vormgeving aan de Koninklijke Academie van Beeldende Kunsten te Den Haag. Zijn voorliefde voor de heldere ritmische structuur komt onmiskenbaar naar voren; het vlak, ritmisch verdeeld, met boeiend licht- en schaduwspel, geleed in regelmatige vormen van gestapelde figuren. Van Rutten houdt van subtiele tegenstellingen tussen regelmaat en verstoringen, tussen strak en rafelig, stoer en breekbaar, tussen glad en ruw, gesneden en gescheurd. Het werk is van een grote eenvoud. De kunsthistoricus is geneigd te zoeken naar stromingen waar de objecten bij zouden kunnen passen en komt dan uit bij collega’s als Jan Schoonhoven en Ad Dekkers, bij bewegingen als Nul of Zero. Bewegingen die worden gekenmerkt door een formele en afstandelijke onpersoonlijkheid, iets wat je van het werk van Van Rutten niet kunt zeggen. Zijn interesse in de verstoring en vervorming, de rimpeling in de regelmaat maakt zijn werk juist heel persoonlijk en verleent het een poëtische dimensie.
Il suit une formation de graphiste à l'Académie royale des beaux-arts de La Haye, Pays-Bas.
Il manifeste une préférence pour la conception de structures claires et rythmées. Se passionne pour la création d'espaces divisés en motifs réguliers, valorisés par des jeux d'ombres et de lumières, ainsi que par la production de figures, de volumes, de formes géométriques, pures et répétitives, d'accumulations, de détournements, de séries d'objets insolites ou familiers de la vie quotidienne.
Cees van Rutten aime mélanger dans son travail des contrastes, des oppositions franches ou subtiles de matières, comme l'ordonné et le perturbé, le robuste et le fragile, le lisse et le rugueux, le coupé net et le déchiré, voire l'effiloché, le naturel et l'artificiel, le brut et le façonné, le souple et le rigide, le mou et le dur, l'opaque et le transparent, voire le translucide, le coloré et le pâle...
En fait, l'oeuvre de Cees van Rutten est à la fois d'une grande simplicité et à la fois d'une étrange simplicité.
Par défaut ou à tort, l'historien de l'art a souvent tendance à vouloir classer systématiquement ou à "étiqueter" et enfermer un artiste et son oeuvre produite dans un courant artistique.
Son admiration pour l’oeuvre de Jan Schoonhoven et Ad Dekkers, et sa connaissance des mouvements artistiques comme Nul et Zéro n'auront pas franchement d'influence directe sur le travail de Cees, même si les caractéristiques propres de ces mouvements et les objectifs singuliers de ses artistes s'expriment dans une impersonnalité formelle et réservée ; ce qui n'est évidemment pas le cas de l'oeuvre de Cees van Rutten.
C'est justement sa passion et sa propension pour le détournement du sens et de la nature même de l'objet qui personnalisent l'oeuvre de Cees van Rutten Ils lui fournissent une originalité certaine, lui donnent une dimension unique et poétique, voire une âme humoristique rare. La rigueur, la diversité et la fantaisie dans l'ordre des choses. Cees van Rutten fait un constat réaliste d'une inquiétante et rassurante banalité de la vie quotidienne.
Er studierte Grafikdesign an der Royal Academy of Art in Den Haag. Seine Vorliebe für helle rhythmische Struktur ergibt sich eindeutig; die flache, rhythmisch verteilt, mit faszinierenden Licht und Schatten, in regelmäßigen Formen von gestapelten Figuren artikuliert. Van Rutten liebt feine Kontraste zwischen Regelmäßigkeit und Verzerrungen zwischen den engen und zerklüfteten, zäh und zerbrechlich, zwischen glatten und rauen, geschnitten und zerrissen. Die Arbeit ist von großer Einfachheit. Der Kunsthistoriker ist geneigt, für Ströme zu suchen, wo die Objekte passen könnte und dann kommen mit Kollegen wie Jan Schoonhoven und Ad Dekkers, mit Bewegungen wie Null oder Zero. Bewegungen, die durch eine formale und entfernten unpersönlich, etwas, das man von der Arbeit von Van Rutten kann nicht sagen, gekennzeichnet sind. Sein Interesse an der Störung und Verzerrung, die Welligkeit in der Frequenz macht seine Arbeit nur sehr persönlich und verleiht ihm eine poetische Dimension.